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Rubrique ART

Pablo Picasso. Les Demoiselles d'Avignon. 1907. Oil on canvas, 8' x 7' 8" (243.9 x 233.7 cm). Acquired through the Lillie P. Bliss Bequest. © 2003 Estate of Pablo Picasso/Artists Rights Society (ARS), New York

   Que s’est-il passé par la suite ? L’art du cubisme a pris sa racine dans l’art de Paul Cézanne et l’on a attribué à cette période le nom de cubisme cézannien. Je vais vous donner une piste pour comprendre l’esthétique si particulière aux yeux de tous, étudiez donc cette citation de Paul Cézanne : « traiter la nature par la cylindre, la sphère et le cône. » Et plus tardivement, on retrouve des compositions teintées de géométrie comme par exemple celle de Braque avec Les usines de Rio Tinto à l’Estaque. Admirez cette géométrie, cette finesse de la ligne, l’aspect délimité et stricte, la restructuration du réel.

 

 

   La phase analytique du cubisme concerne la période de 1912 à 1917 et instaure une décomposition du réel et le reconstruit selon les savoirs déjà acquis. Je vous cite par exemple le Portrait de Kahnweiler, son collectionneur, qui a cru en la force du cubisme, fait par Picasso aux alentours de 1912. Cependant, ces artistes cubistes ne voulaient pas aller jusqu’à l’abstraction où l’absence de sens prendrai le dessus sur le véritable objectif que doit conférer leurs œuvres, mais ils voulaient la laisser compréhensible ce qui nous invite à évoquer de façon succincte la dernière phase du cubisme qui est la phase synthétique.  

Pablo Picasso, Portrait de Daniel-Henri Kahnweiler, 1910, huile sur toile, 100,5 cm x 73 cm, Art institute of Chicago, Chicago.

   Dans cette phase, les artistes choisissent de réhabiliter le réel au sein de leur composition et quel est le meilleur moyen pour ça ? Et bien, si on incorporait le réel directement dans la toile ? N’est-ce pas une théorie intéressante ? Ainsi, ils se raccrochaient au réel, le lien était fait. Nature morte à la chaise cannée de Picasso en est le parfait exemple où la chaise cannée est incorporée au sein du tableau. 

   Pour finir, j’aimerai revenir sur une idée reçue, une idée qui est quasiment indéniable chez la majorité de ceux qui vont lire cet article et je vous comprends ; cette idée reçue est la suivante : je pourrai faire la même chose que Picasso. Oui vous pourriez le faire, je vous crois et je vous en sens capable, cependant, essayons d’éclaircir ceci. Picasso a dit « Toute ma vie, j’ai essayé de peindre comme un enfant. » Son art s’est rapproché d’un art enfantin mais si vous regardez un dessin d’enfant, instinctivement, vous n’allez pas lui reprocher l’extrême simplicité de son dessin mais au contraire l’encourager et le féliciter. L’art de Picasso, c’est la même chose mais il est plus difficile de l’assimiler. Je vais vous donner une clé pour comprendre l’art de Picasso mais pas pour le reproduire : imaginez une pomme, vous la mangez, et vous la lancez tombez et ensuite vous la regardez sous pleins de vues différentes. Les artistes cubistes vont donc essayer de représenter toutes ses vues successives ainsi que ses instants « T » dans un seul et même tableau. Vous voilà donc parez pour comprendre le cubisme et attention, chaque artiste est unique, possède son style. 

Pablo Picasso, Nature morte à la chaise cannée, 1912. 

 

Bibliographie :

  •    Brigitte Leal, Le cubisme, Paris, éditions du Centre Pompidou, 2012. 

 

 

 

 

 

 

 

QUIZ :

 

1-Quelle est l’œuvre fondatrice du cubisme ?

 

   A) Le bordel.

   B) Les messieurs de Tours.

   C) Les demoiselles d’Avignon.

 

 

2- À partir de ce premier paragraphe, que pouvait vous constater à propos des principes du mouvement ? (Plusieurs réponses possibles)

 

   A) Le mouvement s’est autoproclamé mouvement cubiste.

   B) Le cubisme puise son inspiration dans les créations africaines et océaniennes.

   C) Son principal thème est l’amour.

   D) Le cubisme est divisé en plusieurs phases.

 

3- À partir de quand le cubisme commence-t-il ?

 

   A) A partir de 1903.

   B) A partir de 1905.

   C) A partir de 1910.

   D) A partir de 1907.

 

4- Que pouvez-vous comprendre par « Peindre ce que l’on sait et non ce que l’on voit » ?

 

   A) Peindre la connaissance et non la réalité.

   B) Peindre à la manière des impressionnistes, c’est-à-dire l’instant présent.

   C) Peindre la réalité comme elle est, comme elle se présente à soi.

 

 

 

Réponses : 1- C) ; 2- B) C) ; 3- D) ; 4- A)

 

Une réponse juste : artiste débutant.

Deux réponses justes : artiste du dimanche.

Trois réponses justes : Œil érudit.

Quatre réponses justes : expert. 

Le Cubisme

Article rédigé par Cyril PELLETIER, 1er Août 2014.

   Ce qu’il faudrait retenir de ceci, c’est que nous avons pour l’instant dresser qu’un infime panorama de la création artistique au fil des siècles de la façon la plus singulière possible. De l’Antiquité à la période contemporaine, il est difficile de tout résumer bien qu’il sera intéressant de décloisonner tout ceci. Il faut retenir que les barrières dressées pour chaque période ne sont qu’artificielles. Elles ne sont valables que sous un oeil contemporain. La création artistique de la Renaissance commence dès le Moyen-Âge. Il y a des corrélations entre chaque période.

 

   L’Art n’est au final qu’un, il est une unité dont chacun a participé, participe et participera au fil du temps.

 

 

Bibliographie :

  •    Sous la direction de Stephen Farthing, Tout sur l’art, Paris, éditions Flammarion, 2010.

  •    Lutz Heusinger, La chapelle Sixtine, Paris, éditions Princesse, 1976.

  •    Elie Faure, Histoire de l’art, Paris, éditions Bartillat, 2010. [édition intégrale]

  •    Ouvrage dirigé par Philippe Dagen et Françoise Hamon, Epoque contemporaine XIXe – XXIe siècles, Paris, éditions Flammarion, 2011. [ sixième édition]

 

   Ce mois-ci, on va jouer à un petit jeu. L’article du mois précédent n’était qu’une séance introductive mais qui devait quand même être faite. Ce jeu est très simple : à chaque paragraphe, une question sera posée et vous retrouverez la réponse à la fin de l’article. Ensuite, je vous donnerai le barème selon le nombre de bonnes réponses et vous aurez un niveau soit : artiste débutant, artiste du dimanche, œil érudit, expert. Et au fil des mois, vous verrez votre progression ! Alors, ça vous dit ? Et bien commençons.

 

   J’ai choisi de vous parler du cubisme, pourquoi, c’est l’été, il fait beau et chaud, on a envie de se détendre, de quelque chose de léger et je ne vais quand même pas vous parler de périodes plus lourdes. Je vais commencer par une citation de Pablo Picasso, qui est le principal – et non le seul – représentant du cubisme, nom forgé par un critique du nom de Louis Vauxcelles sur lequel nous reviendrons plus tard. Voici cette citation : « Montrer ce que l’on sait et non ce que l’on voit. »  Cette phrase concerne une période distincte du cubisme qui est le cubisme analytique, qui veut décomposer le réel afin de le reconstruire, pour aller progressivement vers l’abstraction dont vous avez sans doute entendu parler.

 

   La première œuvre du cubisme, qui en définit les principes fondateurs, c’est bien Les demoiselles d’Avignon de Picasso. Œuvre majeure, peinte en 1907, conservé aujourd’hui à New-York n’a d’abord pas été comprise de ces contemporains, même ceux comme Braque qui deviendront des acteurs du mouvement. Il bouscule les codes traditionnels de la représentation et de l’espace. Sur la peinture est présentée cinq nus féminins qui suivent une certaine progression. Les deux au centre sont sans doute les premiers à être peintes, de façon tout à fait conforme à la réalité. Les deux de droite et celle à gauche, qui tranchent singulièrement avec la représentation des nus au centre où les visages répondent à la tradition des masques que l’on qualifie d’inspiration « d’art nègre. » On ne sait pas vraiment à quoi est du ce changement si brutal de l’art de Picasso, mais on pourrait attribuer ce changement à sa visite du musée du Trocadéro à Paris où sont présentées les collections provenant d’Afrique et d’Océanie.  

   Ces artistes-là devaient donner au tournant du XXe siècle, la peinture contestataire que l’on connaît. Succession de mouvements avant-gardistes, tous plus ou moins engagé politiquement, ayant l’idée de métamorphoser la peinture avec l’introduction de l’abstraction et de la géométrie notamment ; pensons à Mondrian. Révolutionnant la couleur (avec l’emploi de couleurs pures), la forme (en traitant la « nature par le losange, la sphère et le cône » (Cézanne) comme le faisait les artistes actifs au sein du cubisme). Art marqué par un contexte singulier, marqué par les conflits mondiaux, marqué par le totalitarisme, la question de l’engagement politique se posait. Les surréalistes ont par exemple adhérés au communisme, notamment André Breton.

   Après la seconde guerre mondiale, nous sommes allés progressivement vers le contemporain le plus extrême, la période ultra contemporaine. En France, on a contesté De Gaulle, on a contesté l’hyperpuissance américaine et sa politique interventionniste notamment au Vietnam et ce par l’art. Il y’eut par exemple les contre-cultures des années 1968 qui connaissent un véritable développement par la pratique du théâtre qui devient militant mais encore par d’autres pratiques comme la musique, notamment le rock aux Etats-Unis et enfin la peinture, qui devient collective et de plus en plus contestataire.

 

   Et d’où l’art est-il donc parti ? On l’a dit, de la préhistoire avec les premières peintures rupestres, cependant, l’art a pris sa totale dimension en Grèce où nous avons vu l’apparition d’artisans, spécialistes notamment dans la sculpture, la céramique par exemple. Il y’eut quatre périodes artistiques en Grèce que l’on a pu déterminer grâce à des critères purement stylistiques. La première, la période protogéométrique et orientalisante (900 avant J.-C – 600 avant J.-C), la période archaïque (600 avant J.-C – 480 avant J.-C), la période classique (480 avant J.-C – 323 avant J.-C) et la période hellénistique (323 avant J.-C – 31 avant J.-C). On les définira dans des articles futurs pour ne pas trop vous perdre pour l’instant. Il y’eut l’empire Grec puis l’empire romain instauré par Auguste dans les années 20 avant Jésus-Christ. Cet Empire Romain, qu’à-t-il à voir avec l’époque contemporaine ? Mussolini ne l’a-t-il pas pris pour exemple ? Ne se considérait-il pas comme le dernier empereur romain ? Ainsi, toutes les périodes sont liées. Les marbres antiques ont su inspirés les oeuvres postérieures. Ce sont de véritables références. A titre d’exemple et pour votre simple curiosité, on peut citer une oeuvre de Pistoletto, actif au sein du mouvement de l’Arte Povera qui se situe dans la seconde moitié du XXe siècle, dans les années 1960, qui se nomme La Vénus aux chiffons exposé à la Tate Modern à Londres. Il confronte au sein de son oeuvre un marbre antique romain, une Vénus à des détritus qui proviennent des temps modernes. Réfléchir sur l’impact du temps est bien sa pensée dans le cas présenté ci-dessus.

La dernière période, où la tendance générale a été le scandale à répétition. Au XIX° siècle, l’académisme, courant artistique très conservateur où chaque trait de composition répondait à la programmation, à l’exactitude, à l’imitation parfaite de la réalité se voit fortement contesté par des courants tous plus novateurs les uns que les autres. Le romantisme, tant en littérature, en musique qu’en peinture met en avant une nouvelle façon de penser centrée sur l’errance, l’évasion et le rapprochement avec la nature ; l’impressionnisme, que fait-il pour provoquer le scandale que nous autres contemporains nous rappelons tant ? Il brave l’interdit et met en scène des épisodes de la vie quotidienne, sans artifice, tout simple, sans le moindre fait historique. Ils prônent une nouvelle peinture, c’est le cas de Monet, de Sisley, de Renoir, de Caillebotte par exemple, pour la plupart exposés à Orsay.

   Cependant, ce n’est pas la définition que l’on prête à l’art actuellement. D’ailleurs, qu’est-ce que l’art ? C’est un moyen d’expression qui se fragmente par le biais de différentes formes artistiques (peinture, sculpture, architecture, céramique, etc…). Définition simpliste, mais le but de l’article, c’est bien de s’apprêter, au fil du temps, à donner une définition plus ou moins complète de l’art. Aujourd’hui, on prête à l’art la définition d’un « art pour l’art », sans but précis, avec pour visée le seul but esthétique et décoratif. Cependant, il est important de noter que le statut de l’art n’a pas toujours été celui qu’on lui connaît et qu’on lui prête aujourd’hui. C’est à la Renaissance qu’elle a commencé à revêtir ce statut là.

 

   Revenons si vous le voulez bien sur cette période foisonnante qu’est la Renaissance. Tout fonctionne selon un système de commande. Un commanditaire passe une commande à un artiste de son choix sur un sujet précis, une composition parfois précise et ceci s’applique à toutes les formes artistiques comme la peinture, la sculpture et l’architecture. Cependant, ce n’est pas l’artiste qui choisit son sujet ni les structures de la composition. Il va y avoir toute une revendication à la Renaissance d’un art libéral dans le domaine de la peinture. Les arts libéraux sont par définition pratiqués par les hommes libres. Et c’est ce que revendique les peintres, pouvoir peindre selon leur inspiration. Ils l’obtiendront vers la fin du XVIe siècle avec la création d’une académie de dessin à Florence.

 

   Et que dire du Moyen-Âge, dix siècles composent cette période et ce que nous en retenons, c’est ce foisonnement d’architectures militaires et religieuses. Nous apprendrons ensemble à lire ces architectures, passionnantes, éducatrices, fort d’histoire, faisant parti de l’art à part entière ; mais aussi le fonctionnement d’une cité médiévale.

   La production artistique n’a cessé d’évoluer au fil du temps. Mais comment est né l’art ? On dit souvent que l’art naquit dans des grottes ou des cavernes, avec des peintures sur les parois grâce à des pigments, que l’on appelle des peintures rupestres à l’ère préhistorique. Cependant, comment en est-on venu à faire de l’art ? Pourquoi l’Homme a-t-il ressenti ce certain besoin de peindre sur les parois de ces grottes des éléments empruntés au réel ? C’est une question que l’on est en droit de se poser. Il y a, à ce jour, deux explications à la pratique de l’art, l’une qui indique que l’art répondrait à un besoin existentiel afin d’impressionner les tributs voisines ou les membres au sein de sa tribut, une façon de se « démarquer » des autres en quelque sorte ; l’autre, qui a tendance à montrer que l’art était un moyen de représenter ce que l’on ne pouvait décrire. Je m’explique. Quand en revenant de la chasse, les hommes préhistoriques avaient croisé un animal dangereux, il fallait avertir les autres membres de la tribut du danger que représenter ce dernier. Ainsi, l’art est né dans ces circonstances, un homme représentait de façon plus ou moins fidèle la réalité afin d’avertir les membres qui ne pouvaient pas se déplacer : femmes, enfants et vieillards.

Panorama d'histoire de l'art au fil des siècles

Article rédigé par Cyril PELLETIER, 1er Juillet 2014.

Panorama d'histoire de l'art

Otto Dix

Article rédigé par C.P le 1er septembre 2014.

 

 

Otto Dix, Tryptyque la Guerre, 1928-31, huile sur toile. 

   En cette année de célébration du centenaire de la première guerre mondiale ainsi qu’en le déroulement de l’exposition au musée du Louvre-Lens portant sur la guerre, il était bien normal d’accorder au moins un article à ce sujet d’inspiration qui à traverser les âges et les époques, les mœurs ainsi que les âmes des hommes qui l’ont vécu. Dans toute cette histoire cependant, on en oublie bien souvent les artistes, âmes tourmentées touchées aussi par la guerre.  Bien souvent, la guerre est devenue un de leur thème de prédilection, ils ont su renouveler leur production artistique par cette période si meurtrière qu’est la première guerre mondiale, ou comme on le disait bien, celle que l’on appelait « la der des ders. »

 

Otto Dix est un de ces artistes. Vous allez me demander pourquoi je m’intéresse tant à cet artiste. Pour tout vous dire, cet artiste m’intrigue car ses peintures d’après-guerre résume, notamment son polyptyque La guerre tout ce qui a pu être dévoiler dans les témoignages, les journaux de guerre entretenus par les soldats.

 

Otto Dix, né en 1891, mort en 1969, est issu d’une famille d’ouvriers bien que sa mère soit pour le moins attiré par la peinture et la musique. Il prend quelques cours de dessins, et quand la guerre éclate, en 1914, Otto Dix s’engage de manière volontaire dans la guerre. Il dévoilera plus tard dans des écrits que la jeunesse  et l’insouciance furent en quelque sorte son erreur. Il était trop jeune pour savoir quelles abominations allaient se passer au sein de ses tranchées.

 

La plus connue de ses œuvres est sans nul doute son triptyque La Guerre, qu’il peint entre 1928 et 1931, assez tardivement donc. Majeure partie de son œuvre a disparu du fait que le régime nazi le considérait comme un « artiste dégénéré ». Ainsi, une partie de son œuvre fut retiré des musées, et l’autre brûlée.

 

Pourtant, le message de son œuvre était pour le moins explicite. Il ne peignait pas la guerre pour traumatiser ceux qui allaient contempler l’œuvre ; non, il la peignait pour que le public prenne conscience de l’atrocité de cette dernière. Son art était donc antimilitariste, lui qui s’était pourtant engager volontairement dans la première guerre mondiale.

 

Dans l’entre-deux-guerres, son antimilitarisme le pousse à prôner un art de cette même teneur, ce qui n’empêchera pas le régime nazi à l’envoyer de manière obligatoire combattre aux côtés de ses compatriotes sur le front de l’ouest.

 

Je ne sais pas si il y a vraiment besoin de décrire cette œuvre assez explicite qui montre presque l’envers du décor de la guerre. Une tranchée, des maisons en ruines sur les côtés, des morts sous terre et des conditions de vie pour les moins abominables. Masques à gaz, armes, soldats, salubrité, construction de l’œuvre presque désordonnée avec ce fort sentiment d’horreur qui s’en dégage.

 

Oui, Otto Dix signe une œuvre pour le moins troublante, pour le moins singulière, pour le moins horrifiante. Et la question que l’on se répète sans cesse : quelle vie pour un artiste comme celui-ci ? Quelle vie pour un homme enrôlé de ce conflit ?

 

Ce qui se dégage de toute cette explication peut se résumer à ceci : cet art-là montre que la guerre nous rappelle sans cesse ce pour quoi nous nous battons chaque jour à savoir la liberté ; cet art-là nous rappelle ainsi de toujours se battre pour la paix, pour l’antimilitarisme ainsi que pour notre liberté.

 

Deux mots peuvent résumer cette œuvre : plus jamais, plus jamais.  

 

 

 

 

 

 

 

 

Quizz du mois:

 

1-Quel sujet hante les oeuvres d'Otto Dix ?

 

A- La guerre de 1870.

B- La guerre d'Algérie.

C- La première guerre mondiale.

D- La seconde guerre mondiale.

 

2- En quelle année est né Otto Dix ?

 

A- 1850.

B- 1865.

C- 1905.

D- 1891. 


3- De quel qualificatif est désigné l'art d'Otto Dix sous l'oppression du régime nazi ? 

 

A- Dégénéré. 

B- Obscène.

C- Vulgaire. 

 

 

 

Réponses: 1- C ; 2- D; 3- A. 

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